• LE CHRIST

    LE CHRIST

     

    Une page pour le christ ? Ce n’est pas suffisant vous le savez bien alors je vais survoler, franchement, il y a une phrase qui m’a beaucoup impressionnée c’est d’un jeune rockeur des pays de l’Est, il a dit devant la télévision « supposons l’idée absurde que l’on nous prouve que Dieu n’existe pas, supposons, et bien je serais toujours pour le Christ ! », voilà, tout est dit. Bon, pour moi Dieu existe bien évidemment mais le Christ est un être tellement peu ordinaire, d’une si grande bonté avec des paroles d’espérance que personne, je dis bien, personne, en tant qu’être humain ne puisse rivaliser. Le Christ ou "Jésus de Nazareth" qui apparait au 1er siècle entouré de fidèles, ses disciples, il pratique les guérisons et prêche la bonne parole pendant deux ans et demi avant d’être arrêté et crucifié sous Ponce Pilate, mais ça vous le savez-tous.

     

    Une jeunesse pas trop heureuse.

     

    Il était l’ainé de toute la fratrie, il avait cinq frères et on ignore le nombre de sœurs dont il a eu la charge après la mort de son père, Joseph, pour qu’il il avait un réel attachement. Ils travaillèrent tous dans l’entreprise familiale de menuiserie où on y travaillait aussi les métaux et la pierre. Une chose est certaine, il était inculte, non pas stupide mais sans connaissance car absent de tous les cours, il devait rester sur les chantiers avec son père. Pur Galiléen il n’acceptait pas la mise en forme de la Thora, n’appréciait pas les Romains. Ses frères et lui portaient des prénoms ancrés dans les traditions de son peuple, voilà tous ce que l’on peut dire de sa jeunesse.

     

    L’ouverture au monde.

     

    Prés de la plate-forme du Temple se tiennent des marchés, il y a une foule incroyable, des clients, commerçants et pèlerins qui  vendent ou s’échangent de tout : de la viande de mouton, pommes, figues, fruits secs, pissenlits, caroubes, amandes ou endives. Jésus qui arrive connait tout cela, par contre ce qui le choque c’est sur le parvis des "gentils" des marchands d’animaux et des changeurs qui se sont installés dans le désordre le plus complet. On y parque dans la paille des bœufs, des moutons au milieu des éjections souillant et profanant l’espace sacré c’est ce qui va exploser sa colère et le faire connaitre de tous. Il prend un fouet et apparait en grand nettoyeur, il bouscule, renverse les étals, jette la monnaie des échangeurs, il chasse les bœufs et les moutons. Aux vendeurs de colombes il parle avec douceur « Enlevez ceci. Cessez de transformer la maison de mon père en une maison de commerce ».

     

    De Miracles en Miracles.

     

    Il va, à l’occasion, faire des miracles, sans accepter les demandes de la foule, mais à chaque fois ils sont bien trouvés et à bon escient. Nous pouvons parler de la guérison d’un "démoniaque à Capharnaüm", de la "Belle-mère de Pierre", de "la"Main d’un Paralysé", de "deux aveugles" ou l’incroyable guérison de la "femme courbée", toutes sont impressionnantes et frappent les esprits. On parle aussi du "Fils d’un officier" qui fut sauvé, mais également celle d’un "Epileptique", de "la fille d’une Cananéenne", d’un "Paralytique" ou d’un homme "rempli d’Œdèmes". Tout ça vous pârait beaucoup ? Mais ce n’est rien à côté de ce qu’il réalisa réellement, il y en eu bien plus, il allait réellement de Miracles en Miracles, surprenant les témoins et galvanisant les foules. Si l’on prend l’exemple d’un aveugle de naissance, devant témoins, il crache par terre, avec son doigt fait de la boue puis l’ applique sur les yeux de l’infirme et lui demande d’aller se laver, l’autre à sa grande surprise, propre, il ouvre les yeux et voit.

     

    Le Christ, notre sauveur.

     

    Avant de subir l’outrage il avait déjà fait des résurrections, à "Naïn", avec la "fille de Jaïrus" mais surtout "Lazare" qui commençait à avoir un début de putréfaction. Alors, quoi d’étonnant qu’il ne s’applique pas à lui-même ce qu’il fit aux autres ? A sa mort, quand il fut enseveli et protéger d’une lourde pierre pour ne pas qu’il soit dérobé il est parti, seul, devant ses gardes endormis. C’est un résumé très court, oui, mais voilà quelques lignes qui je l’espère pourront vous être utiles pour vous rappeler que cet homme, fils de Dieu, s’est sacrifié pour nous, qu’il est notre sauveur.

     

    Blanchard Daniel - Porthos